Après la planche, le skieur découvrit la roue, et après la roue, le frein ... sans lequel le skieur peut soudainement se fondre dans le décor avec pertes et fracas.
Alors pour tous ceux qui préfèrent la montée à la descente, pour tous ceux qui ne parviennent pas à appliquer le "chasse-bitume" comme on utilise le "chasse-neige", le frein est un outil de circonstance.
Un seul frein pour deux skis, mais qu'il faut systématiquement vérifier avant chaque sortie (serrage, état de la gomme, etc.) et tester avant chaque descente.
Adaptable sur pneus ou sur roues pleines.
Du grand dénivelé descendant, y compris en pente raides : même plus peur !
Inconvénients éventuels :
- l'équilibre du ski, qui peu être corriger au moyen d'un contre-poids ou en utilisant la sangle de fixation du frein au mollet.
- les vibrations et le bruit désagréables au moment du freinage.
- les risques de dérapage en cas de freinage brutal.
Petits conseils : Changez le patin tous les 100 km environ (pour un dénivelé négatif moyen de 500 m par tranche de 15 km). Eviter les vitesses supérieure à 40 km et assurez vous d'un freinage progressif.
Certains pourraient croire que ce frein gène les gestes naturels du fondeur : que nenni ou si peu !
Après un temps d'adaptation, il a beaucoup plus d'avantages que d'inconvénients, parole d'amateur éclairé !
Bravo Olive !
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